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FrançaisLa Dernière Nuit avant l'an 2000-Plon
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« J’ai raté l’homme, dit Dieu à son fils. Tu dois retourner sur terre et, avant la nuit qui précède l’an 2000, trouver un juste. Alors je sauverai le monde. Tu prendras corps, tu partageras la vie quotidienne des hommes, leurs soucis. Ainsi je comprendrai pourquoi la haine l’emporte sur l’amour. À toi de faire entendre mon message. De quelle manière ? Cherche. » Voilà comment arriva en France un apatride de trente-trois ans nommé Jean Lemessie. Confronté à un peuple en plein désarroi, arrivera-t-il à remplir sa mission ? Quel sera son deuxième destin ? |
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© Plon et Christine Arnothy
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La Tribune de Genève, Alain Penel, 1er novembre 1997 « Dans ce texte à la fois grave et distrayant, Christine Arnothy donne la mesure de son talent. » L'Est-Eclair, 4 novembre 1997, René Vigo « Étonnante, la merveilleuse Christine Arnothy dont les arabesques et les frissons de plume enchantent toujours ! (…) Une gageure, ce sujet dont la romancière triomphe en déployant un feu d'artifice avec un humour décapant, ruisselant de verve, pour décrire notre époque affolée et médiatisée. » Le Figaro, 11 décembre 1997, Sébastien Le Fol « À travers un récit alerte et drôle, Christine Arnothy se moque allégrement de la spiritualité bon marché de notre fin de siècle. » L'Alsace, 14 décembre 1997, Frédéric Thibaud « Angoissante question, stimulant sujet de dissertation, exaltant jeu d'imagination auxquels Christine Arnothy se prête avec bonheur et jubilation (…). Un thriller divin qu'il est impossible de lâcher avant la dernière page. » Le Magazine littéraire, janvier 1998, Claude Mourthé « (…) un court roman écrit d'une plume acérée, et manifestement inspiré par l'intolérance endémique dont, tous, nous souffrons. (…) Christine Arnothy fait de ce retour du Messie, dernière chance accordée à l'humanité, une sorte de conte philosophique, où il tient, avec une superbe naïveté nourrie de morale essénienne, le rôle de Huron ouvrant sur le monde actuel des yeux stupéfaits. » Le Populaire du Centre, 9 janvier 1998, J. P. « (…) un roman plein d'humour et faussement candide. » |
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© Christine Arnothy
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